Le Vintage du Lundi

Cela faisait HYPER longtemps que je n’avais pas publier des photos vintage ici…

Je me suis un peu perdue sur le blog culinaire c’est vrai.
Avoir deux blogs c’est juste HYPER difficile à gérer. Je ne suis pas certaine d’avoir fait le bon choix. Mais d’un autre côté, le blog culinaire me permet de « professionnaliser » un peu mes écrits/recettes.

Ça prend du temps d’écrire les recettes, de les réaliser, de les photographier de tester les produits ect.
Et puis j’avoue je rencontre des gens tellement passionnés par leur métier que j’ai tendance à oublier de venir ici.

Mais me revoilou 🙂

Voilà pour le kif de vos yeux;..

Sean Connery sur le tournage : Les diamants sont éternels

 

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On ne joue pas avec la nourriture… mais

Daniele Baresi, italien de naissance a le droit lui.
Il est reconnu de par le monde pour son talent hors norme. Son travail est hallucinant et d’une exquise délicatesse.

Depuis qu’il a 7 ans, il a sculpté son premier fruit à l’aide d’un simple couteau de cuisine. Il décrit cette période comme la meilleure de sa vie : « Quand je touche mon couteau, mon esprit s’abandonne à mon cœur et transmet directement, à mes mains, les différentes formes de décoration. C’est comme de la magie ».

Je vous laisse admirer. (Les oeuvres et l’artiste 🙂 )
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Exposition : Le baiser

En 1947 le premier numéro du magazine roman photo Nous Deux voyait le jour.

Cela fait 70 ans cette année. Un sacré anniversaire.

Je me souviens de ces magazines exposés chez ma grand-mère.
C’était un rituel à chaque sortie d’un nouveau numéro.
ATTENTION, à l’époque c’était le top du magazine féminin. Il était leader du magazine féminin romanesque !
Un monument de la presse avec chaque semaine près de 220 000 exemplaires  vendus.

Ma grand-mère me collait devant la télé, en noir et blanc (merci, je suis du siècle dernier…) ou m’envoyait jouer dans la cour de l’immeuble de la rue Lepic à paris…et elle, pendant ce temps, elle se kiffait les histoires d’amour photographiées et agrémentées de textes.
Mon grand-père la chambrait un peu, en espagnol. Je ne comprenais pas ce qu’il lui disait mais le ton qu’il employait et son léger rictus me laissait comprendre qu’il se foutait d’elle gentillement.
Et elle le toisait du regard en lui disant : « Tù no entiendes nada… »

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